Üritus: 90's Original Party w/ Dj Stan Smith & Dj Q
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90's ORIGINAL PARTY de retour au Rafiot Club pour la classique du mois de décembre !
avec Dj Stansmith ( Radio RBS / Turn up ) & DJ Q ( Lyre le temps/ Eatwithus Radioshow/ Turntableast / Radio RBS )
► Hip hop 90's, funk, soul, groove all night long !
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ INFOS & PARTENAIRES
-> 23h30 - 06h00
-> 5€ / 3€ si adidas au pied !
-> Le Rafiot Club
http://www.rafiot.net/
◆ Adidas Originals Strasbourg Rivetoile
◆ Eli S. Barber&Shop
◆ Radio Bienvenue Strasbourg - RBS 91.9 FM
◆ Organisé par : Souldancer
http://souldancer.fr/
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ Bio et infos des artistes
◆ DJ Q ( Lyre le temps/ Eatwithus Radioshow/ Turntableast / Radio RBS )
https://www.facebook.com/pages/DJ-Q/121317931214624
https://soundcloud.com/djq67
Après avoir fait plus de 70 dates en 2010/2011, DJ Q possède une grande expérience scénique. Il est aussi membre du Turntableast DJ Crew fondé par DJ Nelson (double vice champion du monde 2008 et 2009, champion du monde 2011) DJ Q est devenu professeur dans l’art du scratch et du deejaying.
DJ Q a intégré la formation Lyre Le Temps en 2011, Ce projet ambitieux à la couleur ''electro swing'' a déjà su se faire remarquer du public français depuis 3 ans. Lyre le Temps c'est un album, "Lady Swing" distribué à l'échelle nationale par le label IRFAN, et plus de 60 concerts par an (Printemps de Bourges, Bobital, Cabaret Vert, JDM, Free Music, Artefacts au Zénith de Strasbourg...).
Une expérience forgée dans tous les milieux (concerts, radio, clubs, premières parties, skateparks, dé?lés) a amené Q à savoir travailler di?érents styles :hip-hop, rock, électro, dubstep, reggae, jazz, pop…
◆ DJ STAN SMITH ( Radio RBS / Turn up )
http://djstansmith.com
http://twitter.com/djstansmith
https://www.facebook.com/djstansmith.fanpage
L’histoire d’amour entre Dj Stan Smith et la musique débuta bien avant qu’il ne scratch son premier vinyle. Originaire du quartier du Neuhof à Strasbourg, berceau du hip-hop local, le jeune Stan Smith est rapidement initié à la musique via les vinyles de Disco, de Soul et de Rock de son oncle. Nous en sommes aux balbutiements de la House music et du Hip-hop et c’est davantage à travers les tubes de Funk et de Soul qu’il se constitue une culture musicale solide et éclectique. A cette époque, il adhère entièrement à la nouvelle culture hip-hop qu’il découvre essentiellement à travers les émissions radios R.L.P. sur Skyrock et NRJ Megamix de Dimitri from Paris. C’est justement à l’écoute d’une de ces émissions qu’il a le déclic : « La première fois que j’ai entendu un scratch ça m’a rendu fou mais je ne savais pas comment le reproduire. Le morceau c’était Rockit d’Herbie Hancock. Tout a démarré lorsque j’ai compris comment on faisait ». Dès lors, Stan Smith n’a de cesse de s’entrainer aux techniques du turntablism et ses premières soirées, des fêtes de lycées et des soirées privées, arrivent au début des années 90. Vivant la culture hip-hop intensément, il fonde avec deux amis, Taksam et Mouss, le fanzine Da Funky Kam qui eut, entre 1994 et 2001, un rayonnement national. La naissance du magazine est à l’image de cette période dorée du hip- hop, spontanée, inattendue, audacieuse et c’est à l’occasion d’un concert de Warren G à Strasbourg que le premier numéro est crée : « En une nuit, on a crée DFK. Le lendemain, on l’a apporté à La Laiterie. Warren G a vu le magazine, il a fait « Damnnn... c’est super le truc que vous faites. Les gars venez avec moi ». On a passé la journée avec Warren G, on s’est promenés dans Strasbourg, c’était fou et c’est de là que l’aventure a démarré ». Une aventure qui lui permis de rencontrer des artistes tels que Jay-Z, Nas, les Fugees, Bob Sinclar, Antoine Clamaran ou encore Armand Van Heiden. Acquérant en parallèle une certaine notoriété en tant que Dj, il partagea l’affiche avec de nombreuses pointures, Arsenik, Busta Flex, Raggasonic, Lord Kossity, Cut Killer, Dj Mouss ou encore Dj Abdel et marqua de son empreinte de nombreux clubs en Europe (Le Rafiot, Le Saglio, la Salamandre, le Kay West (Luxembourg), Sofitel (Luxembourg), La Java, Le Seven, La Laiterie Clubbing, le Schutzenberger). Une empreinte et un nom qui ne laissèrent pas indifférent la marque Adidas qui lui proposa en 2007, de défiler pour sa nouvelle collection Adidas Original. Jamais à court d’idées et de projets, Stan Smith participa à l’émission Vibeness qui proposait chaque semaine de découvrir les nouveautés House et RnB du moment et qui fut diffusée dans 15 radios à travers le monde. En marge de cela, les radios FGN, Fun Radio et NRJ firent appel à lui pour réaliser des remixes des tubes de 113, Magic System, Beyoncé ou encore Sean Paul. Jamais loin de Strasbourg, il partit à la découverte des publics de Turquie, Tunisie, Maroc et d’Espagne lors d’une tournée des clubs de plusieurs mois. De retour en Europe, Dj Stan Smith posa ses valises en 2007 au Jimmy’s bar à Strasbourg ; une résidence qui fut entrecoupée de belles parenthèses au Link, dans une ambiance soul et jazzy, ou à l’occasion d’une résidence trimestrielle à l’Opium, club londonien au cœur de Soho, le quartier branché de la capitale britannique.
Collectionneur de vinyles - il avoue en avoir plus de 11 000 - il est une sorte de docteur de la musique, ce qui lui permet d’être fréquemment contacté pour des soirées Samples vs Originals, Hip-hop classic ou encore Funk classic qui proposent de redécouvrir les racines des musique actuelles. Respecté et apprécié dans le milieu musical pour son travail et son savoir, Stan Smith prit part à de nombreux rendez-vous de prestige comme le festival de Cannes 2004, où il mixa lors de la montée des marches, ou le New Soul Contest, auquel il participa en tant que membre du jury. Jamais rassasié, il propose chaque semaine aux internautes un condensé de ses influences et de ses coups de cœur à travers son podcast et s’occupe depuis janvier 2013 du Party Mix d’ECN. Au début de cette année 2013, Stan Smith a entamé ce qui est, à coup sûr, son challenge le plus ardu mais aussi le plus beau, La Scratch Academy, une initiation aux techniques du deejaying. C’est à travers l’enseignement du turntablism qu’il voit l’avenir de son art et des platines qu’il aimerait voir « élevées au rang d’un instrument »
Thomas Rahoual ( Rap N Co)